Le marché paysan de la Friche

Le marché paysan de la Friche - Foires, salons, marchés Marchés Agriculture Produits du terroir Marché régulier - Friche Belle de Mai - Spectacle-Marseille - Sortir-a-Marseille

Marché Paysan tous les lundis.

Des fruits, des légumes, du pain, fromage, œufs ou miel… Venez faire vos courses au marché paysan ! Tous les lundis, de 16h à 20h, retrouvez les producteurs et leurs étals sur la terrasse du restaurant Les Grandes Tables.

63e Mondial La Marseillaise à pétanque

63e Mondial La Marseillaise à pétanque - Sports et loisirs Sport Sport divers Boules Compétition sportive - Parc Borély - Spectacle-Marseille - Sortir-a-Marseille

La compétition, mixte, ouverte à tous, licenciés ou non, sans limite d’âge, se joue en triplette (masculine, féminine ou mixte) au parc Borély et sur une trentaine d’aires de jeu réparties dans tout Marseille. Chaque partie se joue en 13 points sur le principe de l’élimination directe.

Le Trophée Crédit Mutuel Mondial des jeunes et le Grand prix féminin Derichebourg se disputeront en ouverture.

Collections permanentes du Musée des Beaux-Arts

Collections permanentes du Musée des Beaux-Arts - Culture Expositions - Rétrospectives Dessin Peinture Sculpture Exposition - Musée des Beaux-Arts - (MBA) - Spectacle-Marseille - Sortir-a-Marseille

Le Musée des Beaux-Arts de Marseille est un des quinze premiers musées créés en France par le Consulat en 1801. Il est installé depuis 1869 dans l’aile gauche du Palais Lonchamp et présente des œuvres du XVIe au XIXe siècles.

Le Musée des Beaux-Arts de Marseille présente des peintures et sculptures, italiennes, françaises, flamandes et hollandaises, du XVIe au XIXe siècles.

Les oeuvres de Lavinia Fontana, Guerchin, Lanfranco, Pannini et Tiepolo, illustrent l’évolution de la peinture en Italie de la fin de la renaissance au XVIIIe siècle.

Les écoles du Nord sont représentées par des tableaux de Jordaens, Stomer, et la Chasse au sanglier, chef-d’oeuvre de Rubens. Les tableaux de Champaigne, Vouet, Lesueur témoignent du renouveau de la peinture française pendant le règne de Louis XIII et ceux de Nattier, Vernet, Greuze, Hubert Robert ou David, du triomphe de l’école française au siècle des Lumières.

Une des caractéristiques de la collection du musée des Beaux-Arts est de témoigner du dynamisme des arts en Provence du XVIIe et XVIIIe siècles. Les oeuvres du peintre Louis Finson, ami de Caravage, de Jean Daret, Nicolas Mignard ou Michel Serre rappellent combien la Provence a su, durant deux siècles, attirer et retenir les artistes de l’Europe du Nord et du Sud.

Un exceptionnel ensemble de peintures, sculptures et dessins du plus grand artiste baroque français, Pierre Puget, né à Marseille en 1620 et mort dans cette même ville en 1694, après avoir mené une brillante carrière entre la France et l’Italie, est la parfaite illustration de cet heureux mélange des influences artistiques en Provence.

L’École française du XIXe siècle est également l’un des temps forts de la collection permanente. Aux côtés des plus grands maîtres, Courbet, Corot, Daubigny, Millet et Puvis de Chavannes, figurent les représentants de l’école de Marseille comme Loubon, Guigou, ou Ziem qui vont imposer leur vision originale des paysages lumineux du Midi.

La Voix intérieure, chef-d’oeuvre de Rodin, donné par le sculpteur au musée, les bustes des célébrités du Juste Milieu ou le Ratapoil de Daumier, sont les oeuvres les plus célèbres de la galerie de sculpture du XIXe siècle.

► Événement : Gustave Caillebotte, Partie de Bateau 

Un trésor national au Musée des Beaux-Arts de Marseille
Partie de bateau de Gustave Caillebotte

Du 15 décembre 2023 au 17 mars 2024

Partie de bateau, chef-d’œuvre de Gustave Caillebotte nouvellement entré dans les collections nationales, fait l’objet d’un prêt exceptionnel du Musée d’Orsay au Musée des Beaux-Arts de Marseille cet hiver.

Ce tableau, véritable icône de l’impressionnisme, est classé «trésor national» en janvier 2020, alors qu’il est encore en main privée. Acquise par l’État en 2022, grâce au mécénat exclusif de LVMH, l’œuvre a rejoint les collections du Musée d’Orsay.

Le Ministère de la Culture et le Musée d’Orsay ont souhaité partager avec le plus grand nombre ce trésor national en proposant pour la première fois une itinérance dans les plus importants musées en région. Après avoir été présentée au Musée des Beaux-Arts de Lyon à l’automne 2023, l’œuvre est aujourd’hui exposée dans le parcours permanent du Musée des Beaux-Arts de Marseille. Elle rejoindra au printemps, après son étape marseillaise, le Musée d’arts de Nantes.

Cet événement annonce deux autres prêts exceptionnels du musée d’Orsay au Musée des Beaux-Arts de Marseille en 2024. A l’occasion de l’exposition Peindre Marseille, une autre modernité, qui sera présentée du 24 mai au 8 septembre 2024 dans le cadre des 150 ans de l’impressionnisme, le musée accueillera en effet La Lavandière de
Paul Guigou (1860) et le Golfe de Marseille vu de l’Estaque de Paul Cézanne (1878).

Événement labellisé Olympiade culturelle Paris 2024

Fermeture du 1er étage du lundi 15 au mardi 30 avril 2024 en raison de l’installation de l’exposition Peindre Marseille, une autre modernité – qui débutera le 24 mai prochain.

► Afin d’être certain(e) de pouvoir bénéficier de la visite complète de toutes nos salles d’exposition, nous vous invitons à contacter le Musée avant votre visite

► Toutes les visites et activités autour de l’exposition sont disponibles sur le site des musées

Collections permanentes du Musée d’Archéologie Méditerranéenne

Collections permanentes du Musée d’Archéologie Méditerranéenne - Culture Expositions - Rétrospectives Historique Sciences Archéologie Exposition - Musée d'Archéologie Méditerranéenne - Spectacle-Marseille - Sortir-a-Marseille

Le Musée d’Archéologie Méditerranéenne accueille deux collections majeures : le département d’égyptologie, premier de France après le Louvre et la nouveau département des civilisations du proche orient et du bassin méditerranéen.

La présentation dans un nouvel écrin, du département des civilisations antiques du bassin méditerranéen, valorise prés de 800 objets du Musée d’Archéologie Méditerranéenne et propose un nouveau discours et de nouvelles hypothèses.

Le visiteur est convié à un fascinant voyage de prés de six mille ans, une histoire qui part du Proche-Orient et qui traverse tout le pourtour méditerranéen.

Des inventions majeures pour l’homme ont vu le jour dans cette partie géographique du monde. Des progrès techniques et des savoir-faire encore utilisés par l’homme aujourd’hui ont été mis au point, toujours dans ce même périmètre. Comment faire le lien entre tous ces objets ? Comment dérouler leur histoire, pour mieux les comprendre et les admirer ? C’est un parcours à double lecture auquel le visiteur est convié.

Grâce à des espaces expliquant les diverses invention et techniques (l’écriture, le verre, les alliages cuivreux…) ponctuant la visite, il est possible d’envisager l’histoire artistique de l’objet, de le contextualiser, de le socialiser et de mieux comprendre les besoins et les contraintes des artisans et des techniciens qui l’ont réalisé. Les croyances et la ferveur, qui animaient ces femmes et hommes, se sont au fil des siècles, mêlées, séparées parfois, avec toujours l’espoir de progresser et d’avancer pour vivre mieux au sein d’un groupe, dans une société.

Des focus thématiques sur plusieurs savoir-faire antiques, les τέχναι (technaï), sont proposés au visiteur pour qu’il puisse apprécier de lui-même la maîtrise technique des artisans de l’époque et dans bien des cas, la prouesse dont relèvent certaines créations.

Vendredi 16 juin à 17h
Nouvelle présentation éphémère département Égyptologie (en lien avec les graffitis de Délos)
Présentation d’un papyrus inédit.
La navigation est au cœur de la civilisation de l’Égypte ancienne, Son importance se reflète dans le « livre de l’amdouat » : le lieu de passage quotidiennement de Rê pendant les heures de la nuit, quand il voyage d’ouest en est, et qu’il doit lutter contre Apophis afin de se lever chaque matin et ramener la lumière et l’ordre sur la terre.
Tout public, durée environ 1h

Sans réservation, dans la limite des places disponibles

Afin d’être certain(e) de pouvoir bénéficier de la visite complète de toutes nos salles d’exposition, nous vous invitons à contacter le Musée avant votre visite

Collections permanentes du Musée d’Arts Africains, Océaniens, Amérindiens

Collections permanentes du Musée d’Arts Africains, Océaniens, Amérindiens - Culture Expositions - Rétrospectives Arts plastiques / graphiques Historique Peinture Sculpture Exposition - Musée d'Arts Africains, Océaniens et Amérindiens (MAAOA) - Spectacle-Marseille - Sortir-a-Marseille

Le Musée d’Arts Africains, Océaniens, Amérindiens (MAAOA) propose une importante collection d’objets d’arts extra-européens, à la fois témoins culturels et oeuvres à part entière. Né de collections remarquables, il contribue à une meilleure connaissance des cultures d’Afrique, d’Océanie et des Amériques.

Divers regards ont été successivement portés sur les collections extra-européennes. D’abord perçus comme objets de pure curiosité, elles participèrent dès le 18e siècle à une première appréhension de la diversité culturelle du monde. Le 20e siècle fut le cadre d’une double reconnaissance de ces objets, tant par les scientifiques qui les documentèrent, que par les artistes proclamant l’apport de ces arts dans leurs réflexions et expérimentations de nouvelles formes. Des collectionneurs éclairés se sont inscrits dans ces deux sillages. Ce début du 21e siècle s’ouvre sur la question de la provenance de ces oeuvres, celle de leur utilité dans le musée ou de leur restitution dans leur pays d’origine.

Le MAAOA est l’héritier de ces regards. Il l’est par la nature des collections qu’il présente (anciennes collections privées, dépôts, reliquats des musées coloniaux, collectes plus récentes), il l’est aussi de par sa mission : rendre intelligibles aujourd’hui ces objets, témoignages de l’histoire de la culture des hommes et des sociétés dont ils sont issus.

La spécificité et l’intérêt du MAAOA résident dans les trois salles qui composent sa collection permanente : chacune née d’une collection originale.

– La salle Afrique est constituée en partie d’une donation faite à la Ville par les héritiers de Pierre Guerre (1910-1978) grand collectionneur d’art africain, fasciné par ce continent depuis l’âge de 12 ans. Cette collection est composée d’une centaine de masques, statues… auxquels s’ajoutent des objets en dépôt de la CCIMP et autres acquisitions.
Parmi les pièces phares : un masque Marka (Mali), trois reliquaires bieri Fang exceptionnels (Gabon), ou encore un masque Nuna (Burkina Faso).

– La salle Océanie-Amériques : la Ville de Marseille fit l’acquisition en 1989 de la collection unique du neurologue marseillais Henri Gastaut (1915-1995) : une série de 80 crânes collectés dans le monde entier, des crânes humains sculptés, peints, surmodelés ou encore gravés, provenant essentiellement d’Océanie et des Amériques.

A cette collection exceptionnelle s’ajoutent également des oeuvres en dépôt de la CCIMP, des objets issus de collectes effectuées par le MAAOA au Vanuatu, ainsi que de magnifiques parures de plumes amérindiennes provenant du don de Marcel Heckenroth (1902-2008), médecin en Guyane, entre 1939 et 1942.

– La salle Mexique est consacrée à une collection d’art populaire mexicain tout à fait remarquable : composée de près de 3000 objets – masques, tableaux de laine, arbres de vie, sculptures – que le réalisateur François Reichenbach (1921-1993) a acquis au cours de ses nombreux voyages au Mexique et qu’il a légués en 1994 à la Ville de Marseille. En 2016, la collection de Bernard Meusnier, composée de remarquables tissu huipil, et de magnifiques sculptures alebrijes, ces fameux monstres de papier mâché, venait compléter l’ensemble.

« Se voir est une chose, se connaître en est une autre. » Proverbe africain

N’hésitez pas à contacter le musée avant votre venue pour préparer votre visite. Nous vous recommandons également de contacter le musée pour toute visite prévue autour des collections permanentes, les week-ends, afin d’éviter tout désagrément. Nous vous remercions de votre compréhension.

► Afin d’être certain(e) de pouvoir bénéficier de la visite complète de toutes nos salles d’exposition, nous vous invitons à contacter le Musée avant votre visite

► Toutes les visites et activités autour de l’exposition sont disponibles sur le site musees.marseille.fr

Mémorial des déportations

Mémorial des déportations - Culture Expositions - Rétrospectives Historique Sciences humaines et sociales Exposition - Mémorial des déportations - Spectacle-Marseille - Sortir-a-Marseille

Situé au pied du Fort Saint-Jean, le Mémorial des camps de la mort a été inauguré en 1995 à l’occasion du 50e anniversaire de la libération des camps. Reconfiguré en 2019 dans un concept élargi de Mémorial des déportations, il est installé dans un blockhaus de la Seconde Guerre mondiale construit par l’armée allemande dans un ensemble du verrou défensif, devant prévenir un débarquement des Alliés en Provence.

Ce Mémorial rend désormais compte de la singularité de Marseille durant la Seconde Guerre mondiale : principale ville-refuge de la zone non occupée, ville transit, ville détruite, ville portuaire stratégique. Mais surtout, il contextualise au moyen de films, de témoignages ou récits de victimes parce que nés Juifs ou réprimées en tant que politiques, résistants ou otages, et de cartes, les politiques de déportation génocidaire et de répression organisées à Marseille et sa région.

Dans l’exposition de préfiguration proposée depuis le mois de décembre 2019, les événements tragiques de l’année 1943 menés par les Nazis avec la collaboration du régime de Vichy seront longuement évoqués : rafles, déportations et destruction des vieux quartiers de la rive nord du Vieux-Port.

Entrée gratuite dans la limite des capacités d’accueil
Site rattaché au musée d’Histoire de Marseille

Résistants, une génération oubliée
Le Mémorial des déportations inaugure le 9 décembre au sein de son parcours semi-permanent deux nouvelles créations mémorielles et artistiques sur la Résistance à l’occupant nazi et au gouvernement de Vichy mais aussi à l’enfer du système concentrationnaire : une Exposition Résistants, une génération oubliée, une création audiovisuelle artistique immersive, Résister.

Faire acte de résistance dès 1940 quand on a 20 ans et accepter de prendre tous les risques au péril de sa vie nous invitent à nous interroger sur leur motivation, leur attitude face au danger, aux souffrances physiques et morales infligées par leurs tortionnaires.

Ces deux productions mémorielles et artistiques ont été conçues à partir d’une série photographique et audiovisuelle imaginée et réalisée en 2011 par Sand Arty, Auteure-Photographe. Grâce à l’aide de l’ONACVG de Marseille (Office National des Anciens Combattants et Victimes de Guerre) et de l’AFMD (Amis de la Fondation pour la Mémoire de la Déportation), l’auteure a pu retrouver quelques résistants, presque centenaires et résidents alors dans la région marseillaise, qui ont contribué à libérer notre pays de l’occupation allemande dans les années 1940.

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Collection permanente du Musée des Docks romains

Collection permanente du Musée des Docks romains - Culture Expositions - Rétrospectives Historique Sciences Archéologie Exposition - Musée des Docks Romains - Spectacle-Marseille - Sortir-a-Marseille

Marseille et la Mer dans l’Antiquité

Sur le Vieux-Port, à deux pas de l’Hôtel-de-Ville, le musée des Docks romains est un site de la Voie Historique. Associé au musée d’Histoire de Marseille, il s’ancre sur les vestiges conservés in situ d’un entrepôt portuaire situé en bordure de la principale artère de la cité antique.

Cet entrepôt était long d’une quarantaine de mètres et en fonction du Ier au IIIe s ap. J.-C.
Découvert en 1947 par l’archéologue Fernand Benoit dans les décombres de la ville dynamitée, cet entrepôt (horreum) est structuré sur de grandes jarres (a), appelées dolia, qui sont enfouies dans le sol et qui peuvent contenir chacune environ 1 800 litres de denrée (du vin probablement).

Sur la cinquantaine de jarres découvertes, seules 33 ont pu être conservées et l’ensemble est protégé en tant que Monument Historique depuis 1951. Dans l’Antiquité, le quartier semble avoir été équipé de plusieurs entrepôts de ce type.
Autour de ces vestiges sont présentées les découvertes sous-marines effectuées dans la rade de Marseille depuis l’invention de l’archéologie sous-marine en 1952 (fouilles au pied du récif du Grand Congloué) par Fernand Benoit et l’équipe du Commandant Cousteau.

Amphores, ancres, vaisselle de luxe, lampes, lingots, monnaies et épaves illustrent ainsi l’histoire antique des échanges de la plus ancienne ville de France.

Le musée permet aussi d’admirer deux objets majeurs dans l’histoire de l’archéologie nationale puisqu’il s’agit de l’une des premières mosaïques et de la première épave antique à avoir été déposées* en France. C’était en 1831 et en 1864.

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Collection permanente du Muséum d’Histoire Naturelle de Marseille

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Le Muséum d’histoire naturelle de Marseille a fêté en 2019 ses 200 ans et les 150 ans de son installation au Palais Longchamp, inauguré en 1869. Ce double anniversaire a été l’occasion de repenser les espaces d’expositions permanentes du Muséum pour offrir aux visiteurs une vision résolument contemporaine du patrimoine naturel et scientifique.

Des espaces repensés

Les expositions permanentes du Muséum situées au niveau 1 dataient de 1986 pour la Salle Safari, avec quelques remaniements dans les années 2000.
« Les présentations n’étaient plus d’actualité et n’intégraient pas une vision globale de la biodiversité. Les parties préhistoire et évolution ont été également reprises dans le nouveau parcours en intégrant l’ensemble des êtres vivants. » « Par ailleurs, une part des objets archéologiques rejoignent un nouvel espace du Musée d’histoire » indique son conservateur et directeur Anne MEDARD.

Le nouveau parcours innovant « Terre d’évolution », qui a ouvert ses portes au public le vendredi 18 septembre, à la veille des journées européennes du patrimoine, propose sur les trois salles de découvrir l’histoire du vivant, toutes espèces animales et végétales et toutes périodes géologiques et actuelle confondues
« En une seule exposition, le public part à la découverte de la biodiversité autour de sept thématiques : « Vivre là », « Se reproduire », « Se protéger », « Communiquer, percevoir », « Respirer ou pas », « Se nourrir » et « Évoluer ». « Les collections emblématiques du Muséum sont toujours présentes, mais elles sont complétées par des acquisitions de ces 15 dernières années non encore présentées » poursuit Anne MEDARD. Plus de 1 800 espèces sont exposées sur les 60 000 spécimens conservés dans les réserves du Muséum. « Ce sera plus de 1 000 découvertes nouvelles pour les visiteurs du Muséum ! »

La salle de Provence magnifiée

Protégée au titre des Monuments Historiques, la salle de Provence est une vitrine de la muséographie du XIXe siècle et offre un écrin unique aux spécimens fossiles et naturalisées de Provence, d’où de nombreuses espèces ont aujourd’hui disparu.
Elle regorge de nombreux détails historiques. Pas moins de 40 blasons provençaux accompagnent des fresques murales peintes en 1869 par Raphaël PONSON, représentant les principaux écosystèmes régionaux.  » Nous nous devions de conservé l’esprit de cette salle : c’est l’une des plus belles salles de France et d’Europe conservées dans son jus. Un « musée du musée » en quelque sorte. Mais nous en avons amélioré l’éclairage et, à l’entrée, nous proposons deux bornes interactives pour compléter la visite.  » indique le conservateur.

Sur les paliers des monumentaux escaliers en pierre, avec ses deux fresques de 1900 de Jean-François AUBURTIN, de nouveaux mobiliers complètent les vitrines historiques, conçues à l’origine de la création du Muséum, avec une présentation de la préhistoire régionale.

Un Muséum d’histoire naturelle à redécouvrir.
N’oubliez pas que le premier dimanche de chaque mois, tous les musées de Marseille sont gratuits !

► Afin d’être certain(e) de pouvoir bénéficier de la visite complète de toutes nos salles d’exposition, nous vous invitons à contacter le Musée avant votre visite

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Marché paysan du Cours Julien

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Créé en 2001 par l’association cours Julien et l’Adear 13. Le mercredi sous les pergolas du cours Julien Le Marché Paysan donne rendez-vous chaque semaine aux amateurs de bonne chère.

Tous les mois, les producteurs organisent une animation autour de produits de saison issus de l’agriculture traditionnelle paysanne. Cette petite fête est une occasion de plus de dialoguer et d’échanger directement avec les producteurs, le tout dans un cadre festif et convivial.

Chaque mois des animations de saison.