Pour le PAC 2024, nous proposerons la restitution de la résidence de 3 mois de l’artiste Ugo Schiavi aux ateliers Carbonel.
Voyons voir retrouve Ugo, quelques années après son projet Plastiglomera à Saint-Chamas et les premières recherches de l’artiste autour des déchets plastiques.
Cette fois, nous l’amènerons à expérimenter un nouveaux matériaux : l’argile et à se questionner sur la statuaire miniature, puisque que les Ateliers Carbonel perpétuent l’art de Marcel Carbonel, illustre santonnier installé à Marseille dans le quartier de Saint Victor.
Le marché Capucins (ou de Noailles) est un lieu qui mérite le détour, c’est une véritable invitation au voyage : on s’y sent complètement dépaysé, loin de tout, à l’autre bout du monde le temps de quelques courses.
Les produits proposés (fruits et légumes, des herbes, du poisson…) sont très frais, et vous pourrez y trouver, ainsi que dans les rues voisines, tous les produits exotiques que vous aimez.
Lieu populaire par excellence, c’est une découverte une l’ambiance très particulière qui s’en dégage.
17 exposants.
Dans le cadre du festival Oh Les Beaux Jours ! Et en lien avec l’exposition Le Grand Domaine présentée au Musée d’Histoire du 25 mai au 9 juin 2024.
Une histoire populaire de Marseille sous deux écritures documentaires : un podcast et une BD.
L’autrice de BD Lili Sohn et le réalisateur sonore Théo Boulenger sont invités à présenter leur travail autour d’un projet commun : retracer une histoire de Marseille à travers la vie d’un immeuble, Le Grand Domaine, situé au 26 boulevard des Dames.
Pour accompagner la sortie du podcast (13 PRODS en association avec les éditions Delcourt et le Musée d’Histoire de Marseille) et du roman graphique (Delcourt), Lili Sohn et Théo Boulenger dévoilent – en sons et en dessins – les coutures d’une double écriture documentaire. Cette rencontre sera suivie d’une sieste sonore dans le site du Port antique.
Entrée libre dans la limite des places disponibles.
Table-ronde proposée par Ancrages en partenariat avec le Musée d’Histoire de Marseille dans le cadre du Temps des Mémoires de la Fondation pour la mémoire de l’esclavage.
Dans le cadre de l’Agora des mémoires, Ancrages poursuit son cycle sur l’histoire globale en coproduisant cette rencontre avec le Musée d’Histoire de Marseille autour de l’ouvrage éponyme, Les mondes de l’esclavage. Une histoire comparée, dirigé par l’historien Paulin Ismard.
Cet ouvrage porte une double ambition. Rassemblant 70 auteurs de quinze nationalités différentes, il entend tout d’abord présenter une histoire inédite de l’esclavage depuis la Préhistoire jusqu’au présent. L’histoire de l’esclavage, trop longtemps tenue pour une forme de passé subalterne, est ici replacée au coeur des grandes scansions de l’histoire mondiale. Mais il a surtout pour ambition de renouveler une approche comparée dans l’étude du phénomène esclavagiste, qui conduit le lecteur de l’Inde ancienne aux Antilles du XVIIIe siècle, de la Chine des Han jusqu’au Brésil colonial, de l’Egypte médiévale à l’Ouganda contemporain. Le livre fait ainsi le pari de la connaissance et de la réflexion, convaincu que le savoir historique offre des ressources critiques qui ont le pouvoir d’émanciper. Le parti pris du monde et la perspective comparatiste qui est la sienne souhaitent enrichir les scènes et les figures depuis lesquelles relire notre histoire, mais aussi, espérons-le, tracer des chemins, déjà empruntés ou encore à construire, vers d’autres futurs possibles.
Cette action est soutenue par la Ville de Marseille, la Fondation pour la mémoire de l’esclavage et la métropole Aix Marseille dans le cadre du plan de lutte métropolitain de lutte contre les discriminations.
Entrée libre à l’auditorium dans la limite des places disponibles.
Durée : 2h
Dans le cadre du Printemps de l’Art Contemporain, Santiago Reyes propose une performance dans l’espace public prenant la forme d’un déplacement collectif entre les deux lieux du réseau.
La performance débutera à Tchikebe à 14h et se terminera vers 16h au [mac].
Tout public
Sans réservation
Georges Appaix, Compagnie La Liseuse
A nouveau écrire.
Se confronter à cette tentative difficile. Douter souvent.
Tâcher de placer l’ambition au bon endroit, à son propre endroit. Je suis, aussi, ce que j’écris. Je ne peux écrire que ce que je suis vraiment, sans imagination. Ces mots me contiennent.
Et avoir, à nouveau, dans un coin de la tête, l’idée que ce texte pourrait, tout ou partie, être dit sur une scène, faire spectacle et être entendu aussi, dans ses circulations, ses déplacements, ses errements aussi.
Le jouer. Georges Appaix, note d’intention
Projection de Basta!
film de 20 minutes réalisé à partir de la pièce éponyme créée en 1989
Rencontre apéritive avec Georges Appaix
Une exposition conçue par l’artiste-photographe Léon Dubois dans le cadre d’un projet itinérant sur les traces d’Antoine de Saint-Exupéry dans le monde.
Enquêtant depuis 2021 sur les lieux de passage de l’écrivain et aviateur, l’artiste s’intéresse à la place de l’auteur et à son œuvre dans les mémoires contemporaines.
Entre réel et fiction, expérience vécue et littérature, les photographies, archives et témoignages collectés racontent le mystère de la disparition de l’auteur à Marseille il y a 80 ans, le 31 juillet 1944.
Musée d’Histoire de Marseille, séquence 12.
► Afin d’être certain(e) de pouvoir bénéficier de la visite complète de toutes nos salles d’exposition, nous vous invitons à contacter le Musée avant votre visite.
► Le Musée d’Histoire de Marseille dispose d’un centre de documentation.
Uniquement sur rendez-vous par mail : documentation-mhm@marseille.fr et au 04 91 55 36 20.
► Toutes les visites et activités autour de l’exposition sont disponibles sur le site musees.marseille.fr
Lili Sohn, autrice de BD, raconte une histoire de Marseille à travers le récit d’un immeuble, le sien. Au Grand Domaine , sur le boulevard des Dames, on retrouve Marseille à tous les étages.
Dans le sillage de la sortie d’un roman graphique (éditions Delcourt) et d’un podcast (13 PRODS), le Musée d’Histoire de Marseille s’associe, à travers cette exposition, à une histoire qui s’écrit par et pour ses habitants. Cet immeuble, véritable mémoire vivante de Marseille, nous guide dans son héritage riche et contrasté à travers des témoignages. De l’Arménie à l’Algérie, des artisans du cuir à la movida culturelle, de 0 à 86 ans, des riches aux pauvres.
Des planches choisies du roman graphique, des archives personnelles des voisins, des extraits sonores, des dessins et croquis de Lili Sohn, nous immergent dans un patrimoine marseillais en partage.
[Salle d’embarquement]
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► Toutes les visites et activités autour de l’exposition sont disponibles sur le site musees.marseille.fr
Depuis quand les humains font-ils du sport ? Et d’ailleurs, qu’entend-on par là ? Si l’on considère les disciplines sportives encadrées par un règlement, nécessitant des entraînements, et donnant lieu à des compétitions pacifiques, c’est plutôt récent : trois petits millénaires seulement.
On pense bien sûr aux premiers Jeux organisés à Olympie en 776 av. J.-C., qui se perpétuent de nos jours. Mais si l’on élargit la notion de sport à l’activité physique, elle est beaucoup plus ancienne. Dès la Préhistoire, les humains ont eu mille raisons d’activer leurs corps : pour survivre, chasser, se battre, entretenir leur forme, se donner en spectacle, s’amuser… Les vestiges archéologiques en témoignent. Se croisent alors, autour de l’activité physique, des enjeux sociaux et culturels mais aussi politiques, économiques… Le sport devient, grâce à l’archéologie, une clé de lecture des sociétés sur le temps long.
Exposition conçue par l’INRAP.
[Salle d’embarquement]
► Afin d’être certain(e) de pouvoir bénéficier de la visite complète de toutes nos salles d’exposition, nous vous invitons à contacter le Musée avant votre visite.
► Le Musée d’Histoire de Marseille dispose d’un centre de documentation.
Uniquement sur rendez-vous par mail : documentation-mhm@marseille.fr et au 04 91 55 36 20.
► Toutes les visites et activités autour de l’exposition sont disponibles sur le site musees.marseille.fr
La décennie 1968-1978 marque un tournant important dans l’évolution de la mémoire de la Shoah en Europe et dans le monde.
L’action spectaculaire de Beate et Serge Klarsfeld, menée sur plusieurs continents, exerce un rôle majeur dans ce mouvement vers la reconnaissance. 56 ans après la gifle administrée par Beate Klarsfeld en 1968 au chancelier ouest-allemand Kurt Georg Kiesinger et 46 ans après la publication en 1978 par Serge Klarsfeld du Mémorial de la déportation des Juifs de France, le Mémorial de la Shoah retrace le parcours de Beate et Serge Klarsfeld en faveur des victimes de la Shoah et de la connaissance historique, contre l’impunité d’anciens responsables de la Solution finale et contre l’antisémitisme. Grâce à de nombreux documents et objets inédits, l’histoire et les motivations de leur engagement sont pleinement restituées, rejoignant celles de toute une génération, dont ils deviennent jusqu’à aujourd’hui les symboles.
Exposition réalisée par le Mémorial de la Shoah, en partenariat avec le Musée d’Histoire de Marseille.
[Salle d’exposition temporaire]
► Afin d’être certain(e) de pouvoir bénéficier de la visite complète de toutes nos salles d’exposition, nous vous invitons à contacter le Musée avant votre visite.
► Le Musée d’Histoire de Marseille dispose d’un centre de documentation.
Uniquement sur rendez-vous par mail : documentation-mhm@marseille.fr et au 04 91 55 36 20.
► Toutes les visites et activités autour de l’exposition sont disponibles sur le site musees.marseille.fr