Savoir-faire textiles en Méditerranée

Savoir-faire textiles en Méditerranée - Culture Expositions - Rétrospectives Artisanat Divers arts Sciences humaines et sociales Exposition - Centre de Conservation et de Ressources du Mucem - Spectacle-Marseille - Sortir-a-Marseille

La révolution industrielle, dont l’avènement a profondément bouleversé nos modes de vie, a commencé par le textile. La production artisanale, ses gestes et ses savoir-faire ont progressivement cédé la place à la mécanisation et à la standardisation. À cet éloignement technique s’est ajouté l’éloignement géographique causé par la mondialisation ; les vêtements que nous portons étant de plus en plus souvent confectionnés à l’autre bout du monde.

Comme d’autres phénomènes émanant des sociétés préindustrielles, les savoir-faire textiles traditionnels et leurs témoignages matériels ont été minutieusement étudiés, documentés, photographiés et collectés par des ethnologues dont le travail est aujourd’hui conservé au sein de musées comme le Mucem. Ces savoir-faire sont également au cœur de la démarche de l’association Itinérance Méditerranée qui a pour objectif de préserver ce patrimoine immatériel en participant à sa transmission dans une logique locale et environnementale.

L’exposition « Savoir-faire textiles en Méditerranée », conçue par le Mucem et Itinérance, met en évidence ce que le patrimoine, matériel comme immatériel, peut apporter à la création contemporaine.

Pour ce projet, des jeunes créateurs de l’École nationale supérieure des arts décoratifs se sont confrontés aux collections d’ex-voto méditerranéens du Mucem afin de réaliser une collection textile dans le cadre de leur formation ; tandis que des élèves de l’école Casa Moda de Casablanca (Maroc) se sont inspirés d’objets et de rituels liés aux cérémonies de mariage traditionnelles.

L’exposition poursuit son voyage en Méditerranée par la Tunisie et la Grèce, sur les traces des ethnologues ayant étudié ces savoir-faire textiles et à la rencontre des artisanes qui les pratiquent encore aujourd’hui, s’efforçant de les faire vivre et de les transmettre.

Commissaires :

Raphaël Bories, conservateur du patrimoine, responsable du pôle croyances et religions au Mucem
Caroline Perdrix, directrice artistique d’Itinérance

Mnémosyne

Mnémosyne - Culture Expositions - Rétrospectives Art contemporain Photographie Exposition - Frac Sud Cité de l'art contemporain - Spectacle-Marseille - Sortir-a-Marseille

L’exposition Mnémosyne explore, à travers trois œuvres de la collection du Frac, le rapport de la photographie au temps et le pouvoir d’évocation des images.

Comment représenter les flux temporels et les circonvolutions de la mémoire ?

Les artistes Khaled AbdulWahed, Estefania Peñafiel Loaiza et Sami Trabelsi, par un traitement singulier de l’image en mouvement et des dispositifs de monstration choisis, nous livrent des portraits de personnes ou de lieux porteurs d’histoires contemporaines. Par leur mise en scène, un processus de déconstruction-reconstruction ou la dilatation du temps de la représentation, l’image se charge littéralement du vécu des personnes, de l’esprit des lieux et demeure la seule trace mémorielle capable de convoquer un état d’être disparu.

Commissaire Muriel Enjalran.

Vernissage vendredi 30 juin 2023 de 18h30 à 22h00

Dans le cadre du Grand Arles Express. En partenariat avec Les Rencontres d’Arles.

Net-Zéro Transition – Simone Tramonte

Net-Zéro Transition – Simone Tramonte - Culture Expositions - Rétrospectives Environnement / Développement durable Photographie Exposition - Institut Culturel Italien - Spectacle-Marseille - Sortir-a-Marseille

Un avenir durable pour les prochaines générations.
Énergie verte – Économie circulaire – Agritech – Photographies de Simone Tramonte

L’exposition « Net – Zéro Transition » vient de recevoir le prix World Press Photo 2023 dans la section Europe – Long-Term Project.

Le changement climatique est l’une des plus grandes menaces auxquelles le monde est confronté. Le défi qui nous attend doit nous amener à changer de perspective, à repenser une humanité non plus séparée de son écosystème, mais solidaire de la planète qu’elle habite.

L’exposition présente des initiatives menées dans des pays modèles à travers l’Europe du point de vue de la transition écologique, comme l’Islande et le Danemark, et met l’accent sur trois pays de la Méditerranée, comme la France, l’Italie, l’Espagne, montrant certains des projets les plus innovants qui permettront à l’Europe de devenir le premier continent à impact zéro.

La transition vers les émissions zéro sera la prochaine révolution industrielle et c’est par cette opportunité que se joue l’avenir de notre planète.

Simone Tramonte est un photographe italien spécialisé dans la documentation des problèmes sociaux et environnementaux.

Ses travaux sont publiés dans les plus importantes revues internationales.

Commissaire de l’exposition Patrizia Varone, Organisation Lo Cunto aps.

Inauguration de l’exposition mardi 16 mai à 18h00
En présence du photographe Simone Tramonte et du Commissaire de l’exposition Patrizia Varone.

Dans le cadre de l’EUNIC Marseille – réseau des instituts culturels nationaux de l’Union européenne (Istituto Italiano di Cultura Marseille, Goethe-Institut de Marseille et Consulat Général d’Espagne à Marseille)

• Mardi 16 mai à 18h30 – conférence de Sergio Orlandi – L’energia pulita di oggi e di domani
Conférence en italien avec traduction consécutive en français.
Sergio Orlandi, Ingénieur nucléaire responsable du département de construction du projet ITER de Cadarache (International Thermonuclear Experimental Reactor), un mégaprojet international de recherche et d’ingénierie sur la fusion nucléaire. Il est aussi membre de l’Académie européenne des sciences et Président de la Commission pour les énergies durables.

Fondant – Zoé Williams

Fondant – Zoé Williams - Culture Expositions - Rétrospectives Art contemporain Exposition - Panorama - Friche Belle de Mai - Spectacle-Marseille - Sortir-a-Marseille

Fondant : dans ce temps suspendu et transitoire, l’espace du Panorama se fait boudoir kaléidoscopique d’un avant fait après, d’une scène à venir pourtant révolue, de plaisirs obsédés d’objets désirants.

Confiseries, glaçages, moiteurs, fluides, fusions, laves… Le titre et ses connotations donnent le ton du spectacle figé qu’orchestre Zoe Williams. Pris dans une croute luisante, un cœur mielleux n’attend qu’à se répandre. Les images que convoquent ce titre annoncent les thèmes récurrents de l’artiste : le goût, l’excès, l’érotisme, les flammes, les marges et donc les politiques sexuelles, les enjeux symboliques de pouvoir et de domination, la consommation et l’économie des biens.

Fondant est autant une exposition qu’une mise en scène explorant les notions d’artifice, de camp et de classe à travers les interactions parfois forcées du décor et des corps qui s’y adonnent : témoins, complices, voyeurs et victimes.

La cérémonie : l’espace devient une atmosphère. Des miroirs en céramique aux reflets aveugles entourent un lit, l’immensité du Panorama se change en lieu intime plongé dans le vide : une chambre trouble. Un rideau enveloppe la fenêtre rougeoyante, des sculptures émaillées, des objets fortement connotés, des photographies équivoques, un parfum capiteux, un soundtrack de David Aird entêtant remplissent l’espace et le mettent en scène. Zoe Williams rejoue la théâtralité inhérente à son travail pour construire une installation cinématographique dans laquelle on se fait l’acteur d’une scène de crime, d’un shooting de mode, d’un peepshow, d’un drame défragmenté – de tout cela à la fois.

Zoe Williams a conçu ce projet spécifiquement pour le Panorama invitée par Fræme. Elle a produit les œuvres pour le site, en partie en résidence à la Villa Arson, Nice, au Studio Ernan Design, Albisola (Italie) et à Marseille. Fondant est la première exposition monographique de l’artiste dans une institution française.

Vincent Honoré

Les 4 et 5 juin 2023 seront proposées 2 soirées exceptionnelles dans le Panorama, écrin de l’exposition Fondant, dont quelques éléments vous seront alors révélés en avant-première. Accompagnée par la cheffe Samia Benazzouz et les Grandes Tables, Zoe Williams vous accueillera autour d’un dîner baroque afin de partager un moment savoureux, intime et performatif.

Dimanche 4 juin de 19h à 22h
Lundi 5 juin de 19h à 22h

Paulien Oltheten – The holy seriousness of play

Paulien Oltheten – The holy seriousness of play - Culture Expositions - Rétrospectives Art contemporain Photographie Exposition - Centre Photographique de Marseille - Spectacle-Marseille - Sortir-a-Marseille

Au Centre Photographique Marseille, Paulien Oltheten présente une exposition sur les rituels et les miracles quotidiens, qui combine ses archives et sa toute dernière œuvre Lourdes TV présentée ici en première mondiale.

Avec une profonde attention, l’artiste sélectionne des fragments de photos et de vidéos qui scrutent la frontière entre la routine quotidienne et le rituel (le sacré), entre la spiritualité et la folie.

Le titre de l’exposition est tiré du livre « The Disappearance of Rituals : A Topology of the Present » (2020), de Byung-Chul Han dans lequel il écrit : « Le sérieux sacré du jeu a entièrement cédé la place au sérieux profane du travail et de la production ». Sans jeu, la vie « finit par ressembler à une simple survie. Elle manque de splendeur, de souveraineté, d’intensité ». Dans son livre, Han souhaite un réenchantement du monde comme l’une des réponses possibles à la fonctionnalité de la société capitaliste. Il appelle à réintroduire des gestes rituels (sacrés) dans la vie quotidienne et davantage d’éléments de jeu, une façon de créer du temps qui peut s’attarder. Alors les gens se sentiront à nouveau plus à l’aise dans le monde.

Dans cette exposition, l’artiste veux donner au visiteur une expérience qui touche à cela, à l’enchantement et à l’émerveillement. Que serait-ce de pouvoir croire en quelque chose qui n’est ni certain, ni prouvable ? À une époque où de nombreuses personnes doutent de la vérité journalistique, de la démocratie, de l’avenir et cherchent des conseils dans toutes sortes de tableaux rationnels ou mathématiques, trouver la beauté et la paix dans le fait de ne pas comprendre, de ne pas savoir, dans l’inimaginable et l’imprévisible, devient l’une des choses dont le monde a désespérément besoin en ce moment.

Gillian Genries

Gillian Genries - Culture Expositions - Rétrospectives Peinture Exposition - Galerie Kokanas - Spectacle-Marseille - Sortir-a-Marseille

La Galerie Kokanas vous présente Gillian Genries, récemment diplômée des Beaux arts de Paris.

Les tableaux qu’elle constitue redéfinisse le statut de l’image à mi chemin entre le portrait et le paysage. Ses œuvres pourrait-on dire sont même des portraits de paysages. Notamment dans ses dernières créations, on trouve de moins en moins d’être « vivants », comme si les objets et les éléments du décor étaient devenus eux-mêmes les sujets vivants de son œuvre. C’est cette hyper-attention aux objets matériels du quotidien qui font de Gillian Genries une peintre « de son temps ». Elle dessine et traduit ainsi le penchant exacerbé de notre société contemporaine pour l’accumulation et la possession d’objets en tout genre.

Vernissage jeudi 4 mai de 18h à 22h.

Cosquer Méditerranée

Cosquer Méditerranée - Culture Expositions - Rétrospectives Préhistoire Sciences Exposition - Cosquer Méditerranée - Spectacle-Marseille - Sortir-a-Marseille

Classée à l’inventaire des monuments historiques, la grotte Cosquer découverte il y a 30 ans à 37 m de profondeur au Cap Morgiou dans le massif des calanques à Marseille, est aujourd’hui restituée au cœur de la Villa Méditerranée…
Précieuse de par son incroyable richesse d’œuvres d’art pariétal et merveilles géologiques, la grotte Cosquer est un joyau fragile aujourd’hui rendu accessible à tous.

La grotte Cosquer restituée :

La grotte restituée est située au niveau -2 sous la mer, son accès se fait uniquement par monte-charge. la durée de la visite est de 35 minutes.

Depuis une base sous-marine imaginaire, par groupe de 6 personnes, visitez la restitution de la grotte Cosquer dans une atmosphère proche de l’originale. Vous parcourez les les 1750m² de la grotte restituée confortablement installés à bord des modules d’exploration et équipés d’un audioguide (disponible en 6 langues). Le récit sur les secrets de la grotte Cosquer vous sont racontés par le comédien marseillais Philippe Caubère.

Une visite riche de 480 gravures et peintures pariétales réalisées entre 33 000 et 19 000 ans avant le présent. A cela s’ajoute des spéléothèmes et autres merveilles géologiques reproduits et mis en scènes avec un souci de réalisme s’appuyant sur des données scientifiques.

La Galerie Méditerranée :

La galerie méditerranée est située au niveau 3 dans le porte-à-faux. Accessible avec votre billet grotte.

La galerie Méditerranée met l’accent sur les Homo sapiens ayant fréquenté la grotte, leurs rapports aux animaux, leurs manières de se représenter au monde et leur rapport à la mer. Sur 2 500m², vivez une expérience immersive permettant de partir à la découverte de l’art pariétal paléolithique et les raisons qui ont mené à l’ennoiement de la grotte.

Un bestiaire inédit y est également présenté, grandeur nature. Vous retrouverez les espèces animales représentées sur les parois de la grotte. Pour l’essentiel il s’agit d’espèces disparues ou protégées. Vous y découvrirez tour à tour un bison, un auroch, un mégacéros, une antilope saïga, un phoque et les trois grands pingouins, stars de la grotte Cosquer.

Le centre Cassidain de plongée :

Situé au rez-de-chaussée

Découvrez le matériel et les équipements des plongeurs amateurs et professionnels à l’époque de la découverte de la grotte par Henri Cosquer.

Héritages romains

Héritages romains - Culture Expositions - Rétrospectives Archéologie Exposition - Bibliothèque Alcazar BMVR - Spectacle-Marseille - Sortir-a-Marseille

En écho aux Journées européennes d’archéologie.

La civilisation de l’Empire romain a imprégné tout le bassin méditerranéen de sa fabuleuse culture. L’héritage architectural unique légué par Rome fascine encore de nos jours, tant les différents sites semblent défier le temps. Des aqueducs aux
arcs de triomphe en passant par les thermes, de la Provence jusqu’en Syrie, sans oublier l’Espagne, le Liban et le Maghreb,voyage autour des héritages légués par l’occupant romain en Méditerranée.

Le grand Mezzé

Le grand Mezzé - Culture Expositions - Rétrospectives Gastronomie Historique Sciences Exposition - Musée des Civilisations d'Europe et Méditerranée - Mucem - Spectacle-Marseille - Sortir-a-Marseille

La Galerie de la Méditerranée est l’espace d’expositions permanentes du Mucem. À partir de décembre 2020, sa première section accueille une nouvelle présentation :  » Le grand mezzé « .

Nous connaissons tous le slogan nous invitant à « manger cinq fruits et légumes par jour », mais qui sait que cette recommandation s’inspire du « régime crétois », aussi appelé « diète méditerranéenne » ? Ce concept, créé dans les années 1960 par l’épidémiologiste américain Ancel Keys, a été inscrit en 2010 par l’Unesco sur la liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l’humanité, favorisant ainsi sa reconnaissance et sa mondialisation.

L’alimentation méditerranéenne est le fruit d’une construction qui s’est toujours enrichie d’apports extérieurs au cours de l’histoire. À l’heure où celle-ci est devenue un modèle globalisé, se pose aujourd’hui la question de la nécessaire réappropriation en Méditerranée de sa production comme de sa cuisine.
Comment définir et préserver une authenticité culinaire géographique et culturelle, tout en la partageant avec le plus grand nombre ? Comment protéger un régime alimentaire sans l’empêcher d’évoluer ? Comment rester perméable tout en restant authentique ? Pour le savoir, l’exposition « Le grand mezzé » nous mène du champ à l’assiette, et des savoir-faire culinaires traditionnels de Méditerranée aux chaînes de restaurants mondialisées.

À la manière d’un grand repas aux mets et aux saveurs variés,  » Le grand mezzé  » présente une sélection de 550 objets et documents patrimoniaux en provenance de 35 musées d’Europe et de Méditerranée, ainsi que 13 projets audiovisuels et 5 oeuvres inédites de Nicolas Boulard, Michel Blazy, Gerald de Viviès, Laurent Fiévet et Laurent Derobert, conçues spécialement pour ce parcours.

Commissariat : Edouard de Laubrie, chargé de Collections et de Recherches, responsable du pôle « Agriculture & Alimentation » Mucem – assisté de Lucas Gomez.

Avec le soutien d’un comité scientifique international

Scénographie : Christine Ilex Beinemeier, architecture et scénographie
Partenaire : Borges Tramier

Collections permanentes du Musée Cantini

Collections permanentes du Musée Cantini - Culture Expositions - Rétrospectives Art moderne / contemporain Exposition - Musée Cantini - Spectacle-Marseille - Sortir-a-Marseille

Le musée Cantini est installé dans un hôtel particulier construit en 1694 par la Compagnie du Cap Nègre.

Devenu propriétaire du bâtiment, Jules Cantini, amateur d’art et important marbrier qui prit part à la construction de nombreux édifices civils et religieux à Marseille sous le Second Empire, en fit don à la ville de Marseille en 1916 afin qu’il devienne un musée consacré à l’art moderne.
Ce prestigieux établissement culturel marseillais développe depuis une intense politique d’acquisitions et d’expositions, en collaboration avec les plus importantes institutions muséales nationales et internationales.

Le musée présente un large panorama de l’art moderne, mettant l’accent sur un certain nombre de séquences historiques telles que le post-impressionnisme, le fauvisme, le cubisme ainsi que les différentes tendances post-cubistes des années 1920-1930.

Le surréalisme forme également un axe majeur de la collection, en raison des liens historiques tissés entre ce mouvement et la ville de Marseille, qui accueillit en 1940-1941 des milliers de réfugiés, parmi lesquels de nombreux artistes, écrivains et militants antifascistes fuyant le nazisme. Parmi eux se trouvait une grande partie des membres du groupe surréaliste, rassemblés autour d’André Breton, qui cherchaient à gagner les États-Unis.

Les collections couvrent une période s’étendant jusqu’à la fin des années 1970, abordant une grande variété de courants esthétiques, et proposant quelques ensembles remarquables constitués autour d’artistes comme Jean Dubuffet, André Masson, Victor Brauner et Antonin Artaud, ou de mouvements parfois peu connus du grand public comme le groupe japonais Gutaï, très actif et particulièrement novateur dans le domaine de l’abstraction et de l’art performatif des années 1960.

Un partenariat privilégié avec le Centre Georges Pompidou, Musée national d’art moderne a permis la mise en dépôt d’oeuvres exceptionnelles venues compléter et enrichir les collections. L’accrochage est régulièrement renouvelé.

► Afin d’être certain(e) de pouvoir bénéficier de la visite complète de toutes nos salles d’exposition, nous vous invitons à contacter le Musée avant votre visite

► Toutes les visites et activités autour de l’exposition sont disponibles sur le site musees.marseille.fr