La tragi-comédie de Jean-Jacques Surian

La tragi-comédie de Jean-Jacques Surian - Culture Expositions - Rétrospectives Arts plastiques / graphiques Divers arts Dessin Poterie Exposition - Musée Regards de Provence - Spectacle-Marseille - Sortir-a-Marseille

L’exposition La tragi-comédie de Jean-Jacques Surian qui met en lumière l’œuvre exubérante et symboliste du peintre et céramiste marseillais, connue pour son ancrage dans les atmosphères méridionales et populaires de Marseille. À travers un tourbillon de formes, couleurs et références multiples, Surian explore les scènes de la vie marseillaise et les aventures de personnages pittoresques, mêlant réalité et fiction.

Son travail, profondément autobiographique et influencé par la publicité, le cinéma, la mythologie et les grands textes, se caractérise par une approche jubilatoire et onirique de la peinture. Ses œuvres, marquées par une juxtaposition de figures et de motifs fantaisistes, capturent un kaléidoscope d’images familières et troublantes, mêlant sensualité, nostalgie et une critique douce-amère de la société.

Mr. Djub, l’oeil de papier

Mr. Djub, l’oeil de papier - Culture Expositions - Rétrospectives Et sinon… Arts plastiques / graphiques Divers arts Dessin Exposition Vernissage / Inauguration - Galerie Béatrice Soulié - Spectacle-Marseille - Sortir-a-Marseille

Exposition organisée dans le cadre de l’anniversaire des 100 ans du Manifeste du Surréalisme
Pour en savoir plus sur l’artiste :
Mr. Djub débute ses premiers collages en 1983, au cœur de la scène punk parisienne. Plus tard, dans les années 1980, Claude Roffat, fondateur de la revue d’art singulier et brut L’Œuf Sauvage, expose ses œuvres à la galerie Pleine Marge. Pendant près de deux décennies, son travail reste toutefois discret, comme un projet personnel. On retrouve ses traces discrètement à travers des affiches de spectacles collées sur les murs de Paris, des illustrations pour des livres, ou encore des décors sous des chapiteaux de cirque.

C’est à partir de 2010 qu’il développe une technique de collage plus élaborée, choisissant de travailler exclusivement avec du papier ancien, provenant de gravures publiées entre 1840 et 1890 dans des journaux populaires. Ses œuvres s’inspirent alors de divers thèmes, tels que l’art, la culture, la politique et les faits divers. Cherchant l’authenticité d’un papier marqué par le temps, il rejette toute intervention moderne, comme la reprographie, la retouche de couleurs ou le dessin à l’encre, ne s’appuyant que sur les découpes au ciseau et au scalpel.

En parallèle, l’artiste a cofondé la revue d’art HEY! modern art & pop culture, et, sous le nom de Djubaka, il occupe également le poste de programmateur musical à France Inter.

Exposition de portraits dessinés au stylo Bic par Chantal Darnis

Exposition de portraits dessinés au stylo Bic par Chantal Darnis - Culture Expositions - Rétrospectives Dessin Exposition - Ateliero - Spectacle-Marseille - Sortir-a-Marseille

Il s’agit d’une exposition de portraits dessinés au stylo Bic .L’artiste marseillaise Chantal DARNIS présente une série de portraits d’artistes et de personnages célèbres en utilisant la technique du stylo Bic. Elle expose en ce moment et jusqu’a la fin de l’année 2024 à la galerie Ateliero située à l’espace « la Rencontre des Talents »

Chantal DARNIS est une artiste marseillaise connue pour ces insectes à l’aquarelle et qui a publié plusieurs carnets de voyages et notamment une visite de Marseille par arrondissements .

Paradis naturistes

Paradis naturistes - Culture Expositions - Rétrospectives Peinture Photographie Dessin Sciences humaines et sociales Exposition - Mucem - Spectacle-Marseille - Sortir-a-Marseille

Un nouvel engouement se manifeste depuis quelques années pour les pratiques de nudité dans la nature, engouement qui va de pair avec la recherche d’une alimentation saine, végétarienne, le recours aux thérapeutiques naturelles, à la méditation ou au yoga en plein air. Ces modes de vie, mais aussi le rejet des diktats qui pèsent sur nos corps, sont autant de clés de lectures contemporaines pour comprendre les enjeux des naturismes d’hier et d’aujourd’hui. La France est aujourd’hui la première destination touristique au monde pour les naturistes : son climat tempéré et la présence de trois mers ont facilité l’installation de véritables communautés, qui – excepté en Suisse – ont peu de véritables équivalents ailleurs en Europe, où le naturisme se pratique de manière plus libre, hors de communautés constituées. Mais d’autres raisons, historiques, culturelles, juridiques, expliquent la singularité et la longévité des communautés installées en France. Il était normal pour le Mucem, musée de société implanté à Marseille, cité méditerranéenne autour de laquelle plusieurs lieux naturistes importants se sont développés, de chercher à explorer ce phénomène de société singulier et fédérateur qu’est le naturisme, ou plutôt les naturismes, car ils sont pluriels.

Alors, vivre nu en communauté pour communier avec la nature serait-il le secret du bonheur et de la santé ? Naturisme et nudisme, est-ce la même chose ? Pourquoi et comment la France est-elle devenue ce « paradis naturiste » ?

L’exposition « Paradis naturistes » se propose de partir à la découverte des tous premiers naturismes, allemands et suisses, puis français, de rentrer dans l’histoire des communautés naturistes pionnières, qui s’implantèrent en France et en Suisse dès les années 1920 mais aussi de découvrir comment se vit et se pratique le naturisme aujourd’hui.

Dans une scénographie solaire conçue par l’agence lyonnaise Trafik, l’exposition réunit 600 items : photographies, films, revues, objets quotidiens mais aussi peintures, dessins, livres, estampes et sculptures.

Ils sont issus des archives des communautés, de collections privées et publiques françaises et suisses, parmi lesquelles : le Musée National d’Art Moderne MNAM/CCI Centre Pompidou, le musée du Louvre, la Bibliothèque Nationale de France, le musée Bourdelle, le musée des Beaux-Arts de Rennes, le musée de l’Éphèbe et d’archéologie sous-marine d’Adge, le musée des Beaux-Arts de Dole, la cinémathèque de Paris, l’INA, les archives départementales des Yvelines, les archives municipales d’Agde, le syndicat d’administration d’Heliopolis – Île du Levant, la Fondation Henri Cartier-Bresson, la galerie Georges-Philippe et Nathalie Vallois, la Bibliothèque Nationale Suisse à Bern, le Bündner Kunstmuseum à Chur, la cinémathèque de Bern, la Fondazione Monte Verita à Ascona.

Commissariat :
– Amélie Lavin, conservatrice en chef au Mucem, responsable du pôle Corps, apparences, sexualités.
– Bernard Andrieu, philosophe, professeur au sein de l’Institut des Sciences du Sport et de la Santé de Paris, Université Paris Cité.
– David Lorenté, ingénieur des systèmes et techniques audiovisuels et multimédia à l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne et doctorant, Université Paris Cité.
– Jean-Pierre Blanc, directeur de la Villa Noailles.

Commissaires associés :
– Julie Liger, directrice adjointe de la Villa Noailles.
– Thomas Lequeu, associé à la direction artistique pour la Villa Noailles.

Scénographie : agence Trafik

Collections permanentes du Musée des Beaux-Arts

Collections permanentes du Musée des Beaux-Arts - Culture Expositions - Rétrospectives Dessin Peinture Sculpture Exposition - Musée des Beaux-Arts - (MBA) - Spectacle-Marseille - Sortir-a-Marseille

Le Musée des Beaux-Arts de Marseille est un des quinze premiers musées créés en France par le Consulat en 1801. Il est installé depuis 1869 dans l’aile gauche du Palais Lonchamp et présente des œuvres du XVIe au XIXe siècles.

Le Musée des Beaux-Arts de Marseille présente des peintures et sculptures, italiennes, françaises, flamandes et hollandaises, du XVIe au XIXe siècles.

Les oeuvres de Lavinia Fontana, Guerchin, Lanfranco, Pannini et Tiepolo, illustrent l’évolution de la peinture en Italie de la fin de la renaissance au XVIIIe siècle.

Les écoles du Nord sont représentées par des tableaux de Jordaens, Stomer, et la Chasse au sanglier, chef-d’oeuvre de Rubens. Les tableaux de Champaigne, Vouet, Lesueur témoignent du renouveau de la peinture française pendant le règne de Louis XIII et ceux de Nattier, Vernet, Greuze, Hubert Robert ou David, du triomphe de l’école française au siècle des Lumières.

Une des caractéristiques de la collection du musée des Beaux-Arts est de témoigner du dynamisme des arts en Provence du XVIIe et XVIIIe siècles. Les oeuvres du peintre Louis Finson, ami de Caravage, de Jean Daret, Nicolas Mignard ou Michel Serre rappellent combien la Provence a su, durant deux siècles, attirer et retenir les artistes de l’Europe du Nord et du Sud.

Un exceptionnel ensemble de peintures, sculptures et dessins du plus grand artiste baroque français, Pierre Puget, né à Marseille en 1620 et mort dans cette même ville en 1694, après avoir mené une brillante carrière entre la France et l’Italie, est la parfaite illustration de cet heureux mélange des influences artistiques en Provence.

L’École française du XIXe siècle est également l’un des temps forts de la collection permanente. Aux côtés des plus grands maîtres, Courbet, Corot, Daubigny, Millet et Puvis de Chavannes, figurent les représentants de l’école de Marseille comme Loubon, Guigou, ou Ziem qui vont imposer leur vision originale des paysages lumineux du Midi.

La Voix intérieure, chef-d’oeuvre de Rodin, donné par le sculpteur au musée, les bustes des célébrités du Juste Milieu ou le Ratapoil de Daumier, sont les oeuvres les plus célèbres de la galerie de sculpture du XIXe siècle.

► Afin d’être certain(e) de pouvoir bénéficier de la visite complète de toutes nos salles d’exposition, nous vous invitons à contacter le Musée avant votre visite

► Toutes les visites et activités autour de l’exposition sont disponibles sur le site des musées