I’m leaving a, teenage dream

I’m leaving a, teenage dream - Culture Expositions - Rétrospectives Art contemporain Exposition - La Mûrisserie - Spectacle-Marseille - Sortir-a-Marseille

Organisée par la collective glitch, « I’m leaving a, teenage, dream » est une exposition réunissant les œuvres de Juliette Blondel et de Sévérina Ianakieva, autour des récits et des objets qui ont marqué leur passage de l’enfance à l’âge adulte. Dans cet espace-temps transitoire, la quête d’une identité et d’un refuge occupe une place centrale mais ambiguë, entre la fiction et la réalité. De façon latente, les souvenirs, les rêves et les contes de fée incarnent des espaces de monstration et de projection de soi, capables d’enchanter le monde réel, ou du moins d’y échapper. Évacuant toute forme de rationalisme et résistant au rythme effréné du capitalisme, l’espace onirique mêlé au merveilleux nous plonge d’abord dans un état de contemplation, pour laisser libre cours à notre imagination et à l’expression des désirs enfouis depuis l’adolescence.

Les artistes partagent une pratique de la symbolisation, à travers laquelle les éléments du quotidien et les souvenirs de l’enfance sont magnifiés, tandis qu’elles tentent de saisir l’évanescence des choses.
Sans distinction d’origine, les objets sont dotés d’une affectivité, faisant entrer le fantasmagorique dans la réalité. De nature troublante, la part d’étrangeté contenue dans le rêve est quant à elle source d’agentivité. Elle permet aux rêveur·ses de passer de l’admiration, un état qui suscite une forme d’adhésion au merveilleux, à la réflexion, privilégiant ainsi une distance critique avec le monde fantasmé.

La collective glitch est un duo curatorial, formé par Zélia Bajaj et Chloé Bonannini, dont les projets d’exposition et les événements visent à soutenir la création artistique émergente. Basée entre Marseille et la Seine-Saint-Denis (93), la collective glitch entend relier des scènes artistiques géographiquement éloignées pour favoriser les rencontres et l’entraide.

Bleu Mode

Bleu Mode - Culture Expositions - Rétrospectives Art contemporain Exposition - Southway Studio - Spectacle-Marseille - Sortir-a-Marseille

Retrouvez l’exposition « Bleu Mode » de l’artiste Julien Boudet.

If I Rest I Rust – Anna Mandeix

If I Rest I Rust – Anna Mandeix - Culture Expositions - Rétrospectives Art contemporain Exposition - Le 14 - Spectacle-Marseille - Sortir-a-Marseille

Vernissage le 02 mai 2024 de 18h à 21h

La phrase If I Rest I Rust a été à l’origine utilisée par l’auteur américain Orison Swett Marden dans un essai. Ce texte évoque l’idée selon laquelle il est important de ne pas laisser le repos nous empêcher d’accéder à une forme de réussite sociale et économique. Orison Swett Marden pousse encore un peu plus loin son idée en créant une analogie entre la mise en arrêt de son corps et la création de la rouille, en disant : « L’industrie garde brillante la clef qui ouvre le trésor de la réussite ». If I Rest I Rust a été par la suite utilisé comme une véritable devise, s’utilisant aussi bien dans la culture populaire que dans l’enseignement Indouiste. Comment cette phrase s’inscrit-elle aujourd’hui dans une société qui tend à remettre en question les notions de performativité et de productivité ? Et si nos moments d’ennuis, de « rien », de l’élargit étaient des formes de créations et de résistances passives ? Et si nos machines étaient oubliées, abandonnées, que resterait-il ?

Fonds Carta, Beaux-Arts de Marseille – INSEAMM

Dans le cadre de jeudi 2 mai · Opéra | Préfecture | Camas | Cours Julien et du festival PAC.

Proposé par Le 33
Co-organisé par : Les Beaux-Arts de Marseille.

Urcuninas – le souffle de la terre

Urcuninas – le souffle de la terre - Culture Expositions - Rétrospectives Art contemporain Exposition - Urban Gallery - Spectacle-Marseille - Sortir-a-Marseille

Vernissage le 03 mai de 18h à 22h

Les artistes relatent leur ascension de 3 volcans des Andes colombiennes, le Galeras, le Cumbal, l’Azufral ou Chaitan. Ils en extraient les résonances profondes qui les ont touchés. Celles de la flore, sauvage, obstinée, se développant dans des conditions extrêmes. Celles des roches escarpées, des éboulis magmatiques, colorés par le soufre, métamorphosés par les fumerolles, celles enfin des couleurs captivantes et des brumes enveloppantes.
Ils expérimentent une autre relation humain-nature. Le volcan symbole parfait de la terre, de la vie, de sa métamorphose, est le médium qui permet d’accéder à «un temps d’avant», de pénétrer l’épaisseur d’une relation au monde environnant, d’expérimenter la porosité de l’existence humaine.

Les artistes présentent 3 vidéos, dont « El gran Chaitan », fiction inspirée des traditions précolombiennes.
Des éléments prélevés sur sites sont sublimés par un traitement plastique. Dessins, photos, installations, disent la force et l’enjeu de cette expérience.

Films vidéos coproduits par Bombyx et le Ministère de la Culture du Grand-Duché de Luxembourg.

Nathalie NOE ADAM – Edwin CUERVO
Dans le cadre de vendredi 3 mai · Belsunce | Joliette | Panier | Bougainville | Estaque et du festival PAC.

Il neige en juin – Didier Petit

Il neige en juin – Didier Petit - Culture Expositions - Rétrospectives Art contemporain Exposition - Espace d'exposition GT - Spectacle-Marseille - Sortir-a-Marseille

vernissage le 05 juin de 19h à 22h

Présentation du livre de Gérard Fontès et Didier Petit » et puis laisser si facilement ces traces derrière nous… »

Sois pluriel comme l’univers

Sois pluriel comme l’univers - Culture Expositions - Rétrospectives Art contemporain Exposition - La Compagnie - Lieu de création - Spectacle-Marseille - Sortir-a-Marseille

Katharina Schmidt, Aurélien David, Valérie Horwitz, Arnaud Arini, Clara Buffey, Damien Cattinari, Suzanne Hetzel, Dosoung Kim et Sinæ Lee, Rybn.org, Taïeb

« C’est en cultivant cette mangrove qui nous habite et nous déborde – un fouillis de lignes de croissance et de décomposition – que l’on peut faire advenir l’imprévisible : des versions insoupçonnées de sa « personne ». Il ne s’agit pas de devenir soi comme si ce « soi » était déjà là, comme si l’existence n’avait qu’une seule dimension, mais plutôt de prendre le risque de se diffracter en s’exposant aux aléas du monde, et à la multiplicité des usages et récits possibles de ce monde : « Sois pluriel comme l’univers ! » enjoint Fernando Pessoa. » Dénètem Touam Bona, Sagesse des lianes

Dans cette zone d’enchevêtrements dialoguent plusieurs propositions issues d’ateliers. Certaines propositions sont en constante métamorphose.
Rouvrir le monde 2023 Été culturel ; Cnap (pour Valérie Horwitz)

Finissage le 18 avril 2024 de 19h à 00h
Pour la fin de l’exposition collective « Sois pluriel comme l’univers » autour des pratiques d’ateliers et ce qui en découle, nous vous proposons une soirée conviviale lecture-performance :
19h lecture autour du travail de Valérie Horwitz 30′
20h performance de Taïeb, CORPUS CRISPI 40′
21h Dance-floor playlist maison

Foot, l’amour du jeu

Foot, l’amour du jeu - Culture Expositions - Rétrospectives Art contemporain Exposition - Galerie Territoires Partagés - Spectacle-Marseille - Sortir-a-Marseille

Anais Touchot – Diane Guyot de St Michel – Paul Chochois – Francesco Finizio – Jean-Baptiste Ganne – Nicolas Daubanes

Vernissage le 02 mai de 18h à 22h

Dans le cadre de jeudi 2 mai · Opéra | Préfecture | Camas | Cours Julien et du festival PAC.

Mémoires des Corps

Mémoires des Corps - Culture Expositions - Rétrospectives Art contemporain Exposition - Association Solarium - Spectacle-Marseille - Sortir-a-Marseille

Cécile Chassang – Barbara Dupin – Vanessa Hiblot – Suzon Magné – Maya Mihindou – Solveig Phyllis Rocher – Marieke Zapasnik

Vernissage le 04 mai 2024 de 16h à 22h
Performance le 04 mai 2024 de 19h à 19h45
Aphélandra Siassia

Mémoires des corps est une proposition collective qui invite le spectateur à observer, contempler toutes les strates des corps qui se déploient dans l’espace.
Un corps multi-couche, un corps document du temps.
Un corps qui incarne une histoire, qui archive un instant.
Qui révèle les tréfonds d’un rapport intime au monde.
Des corps de fxmmes, de mères, de filles, de sœurs.
Prise parfois en étau dans le torrent que peut être à la vie.

L’idée sera de convoquer les notions de corps archive, de mémoire des corps mais, aussi de female et de queer gaze, l’idée d’engagement et de corps en lutte.

Cette manifestation laissera la part belle au médium photographique tout en convoquant par touches d’autres disciplines comme la performance ou encore le dessin figuratif.

Dans le cadre de samedi 4 mai · Longchamp | Belle de Mai | Blancarde | Plombières et du festival PAC.

Ils ont fait de nous du cinéma – Dalila Mahdjoub

Ils ont fait de nous du cinéma – Dalila Mahdjoub - Culture Expositions - Rétrospectives Art contemporain Exposition - La Compagnie - Lieu de création - Spectacle-Marseille - Sortir-a-Marseille

Vernissage le 03 mai 2024 de 18h à 21h30

« Avant même de me dire, je suis déjà dit(e) » Frantz Fanon
En Algérie, entre 1955 et 1962, l’État français a déplacé plus d’un million de villageois, dans des camps de regroupements (en fait des camps de contrôle, de surveillance).

Dalila Mahdjoub se saisit de cette histoire à partir d’archives personnelles (une photographie de son grand-père, un récit enregistré de sa mère…) et d’archives institutionnelles ou médiatiques pour interroger les notions de représentations et mise en spectacle de l’Autre, de point de vue, de dispositif panoptique.

Par ses dispositifs plastiques, son approche intime et politique, Dalila Mahdjoub parle de l’exclusion et de la désubjectivation coloniale. Elle touche « ce sentiment de constamment se regarder par les yeux d’un autre, de mesurer son âme à l’aune d’un monde qui vous considère comme un spectacle, avec un amusement teinté de pitié méprisante […] » Edward Web Du Bois

Mécènes du sud

Dans le cadre de vendredi 3 mai · Belsunce | Joliette | Panier | Bougainville | Estaque et du festival PAC.