Jean-Michel Bernard est un pianiste singulier, qui a trouvé sa place à la croisée des genres. D’une solide formation classique, avec la liberté du jazz, il est résolument pianiste du cinéma, entre interprétation et réinvention, unique en son genre. Celui que Ray Charles qualifiait de « Genius ! », ou Lalo Schifrin de « Soul brother » a développé dans son immense carrière tous les talents : compositeur, orchestrateur, arrangeur, concertiste. En 40 ans, Il a travaillé sur plus de 200 films, séries et documentaires. Il a été Directeur Musical auprès de nombreuses chaînes de télévision et à la radio sur France Inter (L’oreille en coin). Il a arrangé et produit plus de 25 albums.
Jean-Michel Bernard a travaillé avec les plus grands : compositeur pour Michel Gondry, membre du Quartet de Ray Charles, collaborateur de Martin Scorsese, d’Ennio Morricone, de Lalo Schifrin. Il travaille avec Claude Chabrol, Francis Lai, Bruno Coulais, Philippe Sarde, Francis Veber, Fanny Ardant et beaucoup d’autres… Il a toujours été au cœur de la création musicale pour le cinéma et l’image, au point d’être souvent invité en master class en Festivals (Cannes, Paris-Grand Rex /Audi Festival, Los Angeles, Montréal, Tokyo…).
Quand Jean-Michel Bernard a l’idée d’un concert où il revisiterait au piano l‘histoire de la grande musique de film, de Bernard Herrmann à John Williams, de Nino Rota à Hans Zimmer, de Michel Legrand à Alexandre Desplat, en passant par Schifrin, Morricone, Barry, Elfman, Cosma, Tiersen et ses compositions… On peut de confiance répondre à son invitation.
L’association les Vallonés valorise les pratiques chorales et favorise la rencontre en organisant cette manifestation depuis 2005. Elle contribue à l’existence d’un réseau autour des pratiques collectives musicales amateurs à Marseille et au-delà. Depuis 2021, les Rencontres Vocales sont accueillies à Bagatelle, en partenariat avec la Mairie du 6/8.
Rassembler, mettre en lien, faire entendre des choeurs et groupes vocaux, de Marseille et sa région, dans leur diversité comme dans leur excellence !
19e édition des Rencontres vocales
Mercredi 7 juin :
Journée chansons au CMA Pastré
Samedi 10 juin :
Master Classe (13:30 – 16:30) au CMA Cadenelle
Concert à ND du Mont (20:30)
Dimanche 11 juin :
Ateliers (09:30, 11:00, 13:30 et 15:00)
Scène ouverte (17:00 – 19:00)
Apéro-chansons (19:30) avec le Karaoke Orchestar à Bagatelle
Vendredi 16 juin :
Enchantons le monde, un concert des écoles en partenariat avec l’Education Nationale (18:00)
Hardcore Punk – USA
Originaire de Boston, Death Before Dishonor porte depuis le début des années 2000 haut l’étendard d’un punk hardcore à l’énergie dévastatrice. Le quatuor de légende, produit par Jim Siegel (Dropkick Murphys, Blood For Blood), a joué d’innombrables spectacles à travers le monde avec des groupes comme Madball, Agnostic Front et Terror. Leur musique mélange harmonieusement le punk le plus dur de Rancid, les hymnes de la classe ouvrière du Dropkick Murphys, l’attaque hardcore de Hatebreed, et la précision et le riffing de Slayer.
Célia Cassaï souligne que l’origine de son travail se trouve dans la marche. Elle collecte des éléments dans la nature et, assurément, elle observe aussi car les éléments qu’elle rapporte ne sont pas seulement des matériaux naturels, ils se transforment, s’inscrivent dans un processus de mutation qui fait naître des formes et qui emprunte aussi à la nature. Elle pratique également la céramique qui repose également sur un matériau premier, la terre, transformé par le feu. Les objets qu’elle crée vont d’ailleurs agréger la terre cuite et le vivant, une création humaine à travers un medium ancestral et une création naturelle. Les œuvres récentes montrées dans la Biennale relèvent pleinement de ces trois polarités : la collecte, la transformation de la matière par la main et par la nature (…) extrait texte Romain Mathieu
Vernissage samedi 06 mai de 18h10 à 23h10
Double V est heureuse de présenter la première exposition personnelle de Camille Chastang « Violets are blue and my garden is you « .
Texte de Marie Maertens :
Beaucoup de premières fois ponctuent cette exposition de Camille Chastang à la galerie Double V de Marseille. Premier solo au sein de cet espace, mais aussi premières monstrations d’une partie plus intime du travail, portant sur la « bonne amie » de l’artiste. On traverse ainsi de grands formats de fleurs aux messages explicites pour qui connaît leur langage, puis on découvre des céramiques inédites sur des papiers-peints qui poursuivent les précédents travaux présentés à la Villa Arson, de Nice, ou au Drawing Factory, de Paris, avant de s’approcher de délicats portraits d’Héloïse. Ce qui nous semble parfois le plus simple, décoratif, voire anecdotique permet d’y glisser bien des messages…
Depuis le début de sa pratique, Camille Chastang aime dessiner et représenter des fleurs, ce sujet si faussement naïf. Ainsi, si l’on observe ses espèces, elles se déclinent en violettes, lavandes, iris, lys ou roses des chiens… de celles qui symbolisent l’amour homosexuel entre deux femmes.
Black Metal, Death Metal
Le trio New Yorkais a su imposer en quelques albums son interprétation complètement folle d’une musique quasiment indescriptible, Esthétique Art Deco Noir, Jazz grandiloquent et chaotique en collision constante avec le Death et le Black Metal. Un groupe définitivement aussi unique qu’intriguant et surtout extrêmement impressionnant sur scène, grâce à des musiciens en maîtrise totale de leurs instruments, à un point dépassant parfois l’entendement.
French Beat, Garage, Rock
It’s time to move ! With…
• Les Playboys
(Garage – French Beat – Nice)
Faut-il encore les présenter ? Depuis 1979, huit lustres et quelques balais ont défilé. Quelques cordes et baguettes ont été usées. Les Playboys ayant l’élégance de la discrétion, certains pourraient imaginer qu’ils sont alanguis sur les chaises bleues de la Promenade des Anglais, tels des ectoplasmes d’un autre temps affairés à disserter avec dérision de l’aliénation de la société du buzz et accessoirement de la jeunesse éternelle de leurs revendications (la fameuse retraite à 30 ans et du champagne pour se laver les pieds…). Supposition inutile. N’étant pas équipés pour la nostalgie,
Les Playboys ne se sont toujours pas engouffrés dans les impasses des contemplations passéistes, ni dans le moins-disant musical (d’ailleurs trois d’entre eux officient dans d’autres groupes). Les Playboys ne cessent de jouer et de composer, alimentant inlassablement et humblement la flamboyance de leur continuité (quel groupe français peut prétendre à une telle longévité ?). Il faut que ça pulse ! Et sans aucun opportunisme. Les Playboys font toujours du Playboys et ils l’assument ! Pas émoussés, ils demeurent fidèles à eux-mêmes et à leurs références 60’s. Ils ne peuvent pas s’en empêcher, c’est ainsi qu’ils sont faits. Sans artifice. Dans la légèreté, la sincérité et une indéfectible amitié, ils allèguent que la disparition du garage-beat peaufiné à l’ancienne est inimaginable. Leurs riffs au cordeau illustrent parfaitement que ces niçois-là ont voté pour la boum éternelle !
• Les Tchoquettes
(Girls Girls Girls Rock – Marseille)
Sous l’égide de l’incontournable Dan Imposter, un vent de fraicheur souffle sur la scène rock marseillaise. Si l’on écarte, avec tout le respect qu’on lui doit, tous ses balais à l’honorable métronome de ce groupe, la moyenne d’âge des demoiselles (Delphine, Charlotte et Emma) composant les Tchoquettes doit être inférieure à 25 ans. Fougue décomplexée de la jeunesse biberonnée aux sons vintage, énergie communicative, titres en français, reprises soigneusement sélectionnées et ancrage sixties assumé. Tel est le nouveau cocktail des Tchoquettes …bien agité dans le shaker du boss des Disques Tchoc. Les donzelles garageuses ne cessant de s’affirmer, le mentor métronome devrait bien se tenir… Une belle découverte !
• DJ Ber The Ber
Ber The Ber, le gimmick barbouze qu’aucun coiffeur ne saurait corrompre, vous fera danser le reste de la soirée, avec sa sélection classée dans les millésimes de 1956 à 1969. Du style et de la tenue pour dynamiter le spleen !
Punk, Rap, Techno
Moscow Death Brigade
Moscow Death Brigade est un phénomène techno/rap/punk originaire de Russie qui joue du “Circle Pit Hip-Hop”: un mélange unique et agressif de musique électronique, de punk hardcore et de rap, imprégné de graffiti et de culture de rue et parfumé d’un message social positif.
+ Guests :
Coquard
Heavy Blues, Rock’n’roll
Soirée de sortie du nouvel album de Big Fat Papa’Z (Heavy Blues) + Baron Gabriel (Vintage Blues Duo)
Big Fat Papa’z revient avec un nouvel album de 8 titres intitulé “Fat Power”
Venez découvrir en live le nouveau set du groupe avec plusieurs musiciens en guest spécialement pour l’occasion !
Merci à tous les participants de la campagne de crowd-funding sur Ulule qui ont permis à cet opus de voir le jour grâce à leur soutient !
• Big Fat Papa’z c’est quoi ?
Power-trio originaire de Toulon et Marseille composé de Damien Ricard (guitare/chant), Quentin Crénès (basse) et Hugo Modena (batterie).
Big Fat Papa’z c’est une voix très typée, énergique et puissante associée à un style oscillant entre le classic rock, le blues et la soul.
Le groupe puise son inspiration dans la musique des années 60-70’s avec des formations comme Led Zeppelin, Black Sabbath, Free, Grand Funk Railroad, Creedence Clearwater Revival mais aussi la “black music” de la Motown ou Chess avec des artistes tel que James Brown, Otis Redding, Wilson Pickett…
• Baron Gabriel c’est quoi ?
Duo Blues formé par Yan Yalego au chant et à la guitare et Elie Coquard à l’harmonica.
Blues traditionnel, Folk et Rock’n’Roll des origines.
Hardcore, Punk Rock, Thrashcore
Pour la première fois au Molotov, Malammòre diy est fier d’organiser deux des meilleures bands de HC qui sillonnent l’Europe à coup de breakdown, adrénaline et textes conscients.
Shortfuse et xCagedx en tournée européenne, passent par ici et on les melange à des bands
Shortfuse (Power up Hardcore // Roma)
xCagedx (Hardcore VeganEdge // Bologna)
TheButcherProject (Thrashcore veterans // Marseille)
The Sobers (Finest Punk Rock // Marseille)
Ca démarre tôt et ca fini assez tôt parce que on est des travailleurs/euses avant tout, on a pas de temps à perdre et le lundi c’est tout de même boulot.
Prix populaires, toujours, par choix.
Famo Er Foco !!!